Index >> Découvrir >> Version à imprimer >> zone géographique suivante ... AFRIQUE DU NORD: TUNISIE LIBYE EGYPTE Vers l’an 800, les musulmans avaient déjà fixé les règles de leur musique classique, appréciée, de Sousse a Aswan, dans tous les palais du moyen-Orient. Ishaq al-Mawsili, de l’école traditionaliste, présenta son meilleur élève au Calife de Bagdad.
Pendant ces années de nomadisme forcé, Ziryab composait, chantait, jouait à tout vent. Sa popularité se propagea rapidement dans tout le monde musulman. Il créa une École de Musique ouverte à tous, terreau de création pendant plus de six siècles. Les musicologues érudits contestent aujourd'hui l'importance de Ziryab mais nous, on aime bien la légende. Sur ses traces (de Ziryab), nous avons pu entendre l'excellent Tahar Gharsa et son fils Zied interpréter le malouf Tunisien. En Egypte, on a aussi retrouvé son influence dans les compositions du virtuose Abdu Dagher. Après avoir goûté aux cérémonies de mariage (741 ko) , n'hésitez pas à flâner dans les différents carnets de bord pour picorer d'autres musiques. Vous aurez en prime le contexte de l'enregistrement... Index >> Découvrir >> Version à imprimer >> zone géographique suivante ... La vitalité de la musique tunisienne: Depuis 1934, en Tunisie, l'élite musicale se rassemble au sein d'une association appelée la Rachidia. Ils font vivre l'essence du Malouf (musique classique tunisienne). À découvrir sur le site fraîchement achevé par notre ami Makrem, 18 ans. Au coeur de la médina de Sfax, Bacem Sellami a ouvert le premier centre culturel tunisien privé. C'est là que nous avons entendu les chants de la confrérie soufie Awamria lors d'une
"takhmira", une soirée de transes. Ancien bijoutier, Bacem consacre désormais toute son énergie à la préservation des traditions tunisiennes. |