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EN MONGOLIE SUR LES TRACES DE GENGIS KHAN

Difficile de ne pas se laisser enivrer par la vertigineuse liberté offerte par la steppe ! En Mongolie, la musique est avant tout chantée.


Les mongols ont l'étonnante faculté de maintenir simultanément deux tons de voix différents. C’est le chant diphonique, unique au monde, appelé chömij , toujours sobre, puisqu'accompagné en tout et pour tout d’une guimbarde, c’est à dire d’une simple pièce de métal vibrante.


On l’aura compris, l’essentiel de la musique mongole ne tient pas dans l’ornementation -un peu à l’image de ces symboles chamaniques partout présents dans le paysage, chiffons dans un arbre, totems et autres oboos ou empilements de pierres et d’objets divers qui permettent en principe d’amadouer les esprits...

Nous découvrirons les instruments et musiques mongols au fil de nos rencontres. Le plus courant d'entre eux est le morin khuur, une vielle (ancêtre du violon) dont le manche est toujours sculpté en forme de tête de cheval -sans doute pour rappeler cette légende selon laquelle la musique est née en Mongolie lorsqu’un cavalier créa un instrument en utilisant la crinière et la queue de son cheval mort.




La réalité n'a pas été si éloignée de ce que vous venez de lire: en matière de musique, les mongols nous ont gâtés bien plus que nous l'espérions (en vodka aussi). En voici donc quelques unes:


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